Emplois créés par la relocalisation

Emplois maraîchers = 3% (environ) de l’emploi agricole total en France métropolitaine

Surface par emploi= 2,8 ha par emploi agricole

Salariés = 64% de l’ensemble de la main d’œuvre des exploitations maraîchères

La donnée d’emploi agricole donne un ordre de grandeur du nombre de personnes travaillant à temps plein qu’il faudrait mobiliser pour satisfaire la consommation en légumes, compte tenu des paramètres choisis par l’utilisateur (% relocalisation, % bio, assiette).
L’indicateur utilisé pour mesurer l’emploi est l'unité de travail annuel (UTA). C’est l'unité de mesure de la quantité de travail humain fourni sur chaque exploitation agricole. Cette unité équivaut au travail d'une personne travaillant à temps plein pendant une année.
Parcel comptabilise uniquement les emplois agricoles. La relocalisation de l’alimentation impacte aussi les emplois du milieu et de l’aval des chaînes alimentaires. Ces modifications ne sont pas quantifiées.
Les produits pris en compte par PARCEL représentent environ 91% de notre alimentation (en volume). Ce sont les produits recensés par la Statistique Agricole Annuelle d’Agreste. PARCEL ne prend pas en compte :
- Les produits qui ne possèdent pas de potentiel de production en France métropolitaine (café, cacao, fruits exotiques etc.) ;
- Les boissons (bières, vins etc.) qui pourraient être intégrées dans une prochaine version ;
- Les produits de la mer (difficulté de donner un indicateur d’empreinte spatiale) ;
Parcel prend en compte les produits qui ont actuellement une production représentative en France (dont la production est recensée au sein des statistiques agricoles). La nomenclature retenue de 63 produits, ne représente pas l’ensemble de l’alimentation des français (il manque notamment les boissons et les produits tropicaux).

On utilise les données du dernier recensement agricole (2010), qui donne par Orientations technico-économique, les Unités de travail annuel par hectare. Les données seront mises à jour avec le prochain recensement agricole.
Une exploitation est spécialisée au sein d’un OTEX si la Production Brute Standard (indicateur économique sur le potentiel de production d’une exploitation) de la ou des productions concernées dépasse deux tiers du total.
Pour le maraîchage, on utilise l’indicateur UTA/ha de l’OTEX « Légumes et champignons ».
Pour plus d’éléments sur la méthode de calcul, se référer à la page annexe méthodologique, accessible par le menu principal.

Recensement agricole 2010 d’Agreste – Ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation
Voir le recensement
Statistique Agricole Annuelle d’Agreste – Ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation
Voir la Statistique Agricole

Emplois arboricole= 5% (environ) de l’emploi agricole total en France métropolitaine

Surface par emploi= 7,5 ha par emploi agricole

Salariés = 60% de l’ensemble de la main d’œuvre des exploitations arboricoles

La donnée d’emploi agricole donne un ordre de grandeur du nombre de personnes travaillant à temps plein qu’il faudrait mobiliser pour satisfaire la consommation en fruits, compte tenu des paramètres choisis par l’utilisateur (% relocalisation, % bio, assiette).
L’indicateur utilisé pour mesurer l’emploi est l'unité de travail annuel (UTA). C’est l'unité de mesure de la quantité de travail humain fourni sur chaque exploitation agricole. Cette unité équivaut au travail d'une personne travaillant à temps plein pendant une année.
Parcel comptabilise uniquement les emplois agricoles. La relocalisation de l’alimentation impacte aussi les emplois du milieu et de l’aval des chaînes alimentaires. Ces modifications ne sont pas quantifiées.
Les produits pris en compte par PARCEL représentent environ 91% de notre alimentation (en volume). Ce sont les produits recensés par la Statistique Agricole Annuelle d’Agreste. PARCEL ne prend pas en compte :
- Les produits qui ne possèdent pas de potentiel de production en France métropolitaine (café, cacao, fruits exotiques etc.) ;
- Les boissons (bières, vins etc.) qui pourraient être intégrées dans une prochaine version ;
- Les produits de la mer (difficulté de donner un indicateur d’empreinte spatiale) ;

On utilise les données du dernier recensement agricole (2010) qui comptabilise les Unité de travail annuel par hectare en fonction des Orientations technico-économique (OTEX). . Les données seront mises à jour avec le prochain recensement agricole.
Une exploitation est spécialisée au sein d’une OTEX si la Production Brute Standard (indicateur économique sur le potentiel de production d’une exploitation) de la ou des productions concernées dépasse deux tiers du total.
Pour l'arboriculture, on utilise l’indicateur UTA/ha de l’OTEX « Fruits et autres cultures permanentes ».
Pour plus d’éléments sur la méthode de calcul, se référer à la page annexe méthodologique, accessible par le menu principal.

Recensement agricole 2010 d’Agreste – Ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation
Voir le recensement
Statistique Agricole Annuelle d’Agreste – Ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation
Voir la Statistique Agricole

emplois en céréales ¹ = 11% (environ) de l’emploi agricole total en France métropolitaine

Surface par emploi= 85 ha par emploi agricole

Salariés = 15% de l’ensemble de la main d’œuvre des exploitations en céréales et autres grandes cultures est salariée

1. et autres grandes cultures

La production de céréales et autres grandes cultures a plusieurs destination :
- l’alimentation humaine (37%),
- l’alimentation animale (40%)
- les usages industriels (18%).
Au sein de Parcel :
- Les emplois liés aux productions de céréales et autres grandes cultures destinées directement à l’alimentation humaine est prise en compte dans la catégorie « Céréales et autres cultures »
- Les emplois liés aux productions de céréales et autres grandes cultures destinées à l’alimentation animale est quant à elle prise en compte dans la catégorie « Élevage ».
La donnée d’emploi agricole donne un ordre de grandeur du nombre de personnes travaillant à temps plein qu’il faudrait mobiliser pour satisfaire la consommation humaine en céréales et autres grandes cultures, compte tenu des paramètres choisis par l’utilisateur (% relocalisation, % bio, assiette).
L’indicateur utilisé pour mesurer l’emploi est l'unité de travail annuel (UTA). C’est l'unité de mesure de la quantité de travail humain fourni sur chaque exploitation agricole. Cette unité équivaut au travail d'une personne travaillant à temps plein pendant une année.
Parcel comptabilise uniquement les emplois agricoles. La relocalisation de l’alimentation impacte aussi les emplois du milieu et de l’aval des chaînes alimentaires. Ces modifications ne sont pas quantifiées.
Les produits pris en compte par PARCEL représentent environ 91% de notre alimentation (en volume). Ce sont les produits recensés par la Statistique Agricole Annuelle d’Agreste. PARCEL ne prend pas en compte :
- Les produits qui ne possèdent pas de potentiel de production en France métropolitaine (café, cacao, fruits exotiques etc.) ;
- Les boissons (bières, vins etc.) qui pourraient être intégrées dans une prochaine version ;
- Les produits de la mer (difficulté de donner un indicateur d’empreinte spatiale) ;

On utilise les données du dernier recensement agricole (2010) qui comptabilise les Unité de travail annuel par hectare en fonction des Orientations technico-économique (OTEX). Les données seront mises à jour avec le prochain recensement agricole.
Une exploitation est spécialisée au sein d’une OTEX si la Production Brute Standard (indicateur économique sur le potentiel de production d’une exploitation) de la ou des productions concernées dépasse deux tiers du total.
Pour les céréales et autres grandes cultures, on utilise l’indicateur UTA/ha de l’OTEX « Céréales et oléoprotéagineux ».
Pour plus d’éléments sur la méthode de calcul, se référer à la page annexe méthodologique, accessible par le menu principal.

Recensement agricole 2010 d’Agreste – Ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation
Voir le recensement
Statistique Agricole Annuelle d’Agreste – Ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation
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Emplois en élevage= 40% (environ) de l’emploi agricole total en France métropolitaine

Surface par emploi= 39 ha par emploi agricole

Salariés = 15% de l’ensemble de la main d’œuvre des exploitations en élevage est salariée

La donnée d’emploi agricole donne un ordre de grandeur du nombre de personnes travaillant à temps plein qu’il faudrait mobiliser pour satisfaire la consommation humaine en produits de l’élevage, compte tenu des paramètres choisis par l’utilisateur (% relocalisation, % bio, assiette).
Au sein de PARCEL, les emplois liés aux productions de céréales et autres grandes cultures destinées à l’alimentation animale sont comptabilisés dans cette catégorie « Elevage ».
L’indicateur utilisé pour mesurer l’emploi est l'unité de travail annuel (UTA). C’est l'unité de mesure de la quantité de travail humain fourni sur chaque exploitation agricole. Cette unité équivaut au travail d'une personne travaillant à temps plein pendant une année.
Parcel comptabilise uniquement les emplois agricoles. La relocalisation de l’alimentation impacte aussi les emplois du milieu et de l’aval des chaînes alimentaires. Ces modifications ne sont pas quantifiées.
Les produits pris en compte par PARCEL représentent environ 91% de notre alimentation (en volume). Ce sont les produits recensés par la Statistique Agricole Annuelle d’Agreste. PARCEL ne prend pas en compte :
- Les produits qui ne possèdent pas de potentiel de production en France métropolitaine (café, cacao, fruits exotiques etc.) ;
- Les boissons (bières, vins etc.) qui pourraient être intégrées dans une prochaine version ;
- Les produits de la mer (difficulté de donner un indicateur d’empreinte spatiale) ;

On utilise les données du dernier recensement agricole (2010) qui comptabilise les Unité de travail annuel par hectare en fonction des Orientations technico-économique (OTEX).. Les données seront mises à jour avec le prochain recensement agricole.
Une exploitation est spécialisée au sein d’une OTEX si la Production Brute Standard (indicateur économique sur le potentiel de production d’une exploitation) de la ou des productions concernées dépasse deux tiers du total.
Pour l’élevage, on utilise l’indicateur UTA/ha des OTEX : « Bovins lait », « Bovins viande », « Ovins et caprins », « Elevages porcins », « Elevage avicole »
Pour plus d’éléments sur la méthode de calcul, se référer à la page annexe méthodologique, accessible par le menu principal.

Recensement agricole 2010 d’Agreste – Ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation
Voir le recensement
Statistique Agricole Annuelle d’Agreste – Ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation
Voir la Statistique Agricole

en pourcentage de surfaces cultivées

-%

Polluants aériens

par hectare (en cours)

La vision de l’impact par hectare rend compte du caractère limité des ressources et de l’enjeu de leur préservation.

-%

Polluants aériens

par personne (en cours)

Lorsqu’on les regarde par personne, les émissions de gaz à effet de serre donne l’impact global d’un changement d’alimentation.

Alimentation actuelle ¹

Agriculture
actuelle

Assiette
actuelle

Alimentation nouvelle²

production
bio

Assiette
nouvelle

Différence d'EMISSIONS DE GAZ A EFFET DE SERRE

(EMISIONS DE DIOXYDE DE CARBONE (CO2) + MÉTHANE (CH4) + PROTOXYDE D’AZOTE (N2O))

Autrement dit, on calcule la différence entre les effets d’un scénario initial et d'un scénario final

¹Scénario actuel : agriculture actuelle et en consommation actuelle
²Scénario sélectionné : choix agricoles (% bio) et de consommation de l’utilisateur (type d'assiettes)

alimentation des ménages ¹= 24 %de leur empreinte carbone en France

production agricole = 2/3de l’empreinte carbone totale de l’alimentation

Elevage= 80% émissions de gaz à effet de serre de l’alimentation des ménages

¹émissions de gaz à effet de serre issues de l'alimentation des ménages

Ici, on mesure l’impact d’un changement de consommation et/ou d’un passage au bio. On ne calcule pas impact de la relocalisation de l’alimentation (trop d’incertitudes en l’état actuel des connaissances).
Lorsqu’il est regardé par hectare, le résultat obtenu correspond à la différence d’impact entre :
- 1 hectare représentatif de la situation qui permet de répondre aux besoins alimentaires, en agriculture actuelle et en consommation actuelle ;
- 1 hectare représentatif de la situation qui permet de répondre aux besoins alimentaires, selon les choix agricoles et de consommation de l’utilisateur ;
Attention : la différence d’impact ne concerne pas les hectares supplémentaires potentiellement nécessaires pour concrétiser la situation projetée par l’utilisateur. En effet, il n’est pas possible de connaitre l’utilisation actuelle (forêts, villes etc.) de ces hectares, et il n’est donc pas possible de calculer la différence d’impact.
L’indicateur « émissions de gaz à effet de serre » ne prend pas en compte le changement d’usage des sols. Dans certains cas, cela pourrait participer à des émissions supplémentaires (de CO2 notamment).
La séquestration de carbone n’est pas prise en compte : l’indicateur s’intéresse uniquement aux émissions de gaz à effet de serre

• Pour les éléments sur la méthode de calcul des indicateurs, se référer à la page annexe méthodologique, accessible par le menu principal

Quantifier et chiffrer économiquement les externalités de l’agriculture biologique ? – ITAB, Sautereau, N., Benoît, M. – 2016
Voir l'étude
The context-dependent performance of organic agriculture – Seufert, V., Ramankutty, N. Many shades of gray – 2017
Voir l'étude
L’empreinte énergétique et carbone de l’alimentation en France – de la production à la consommation – Barbier, C., Couturier C. et al.– 2019
Voir l'étude
Une Europe agroécologique en 2050 : une agriculture multifonctionnelle pour une alimentation saine. – Aubert, P.M., Poux, X. – 2018
Voir l'étude
Elevage bovin et environnement : les chiffres clés. – IDELE – 2018
Voir l'étude

Selon les chiffres de l’INSEE de 2015, la part de légumes moyenne pour un habitant des Bouches du Rhône représente 27 % d’une assiette.

-10%

Emissions de gaz à effet de serre

par hectare

La surface disponible et son état écologique étant une des ressource les plus limitante pour la production alimentaire, la vision de l’impact par hectare rend compte du caractère limité des ressources et de l’enjeu de leur préservation.

+10%

Emissions de gaz à effet de serre

par assiette

Lorsqu’on les regarde par assiette, les émissions de gaz à effet de serre donne l’impact global d’un changement d’alimentation.

Selon les chiffres de l’INSEE de 2015, la part de légumes moyenne pour un habitant des Bouches du Rhône représente 27 % d’une assiette.

Les émissions de gaz à effet de serre de l’alimentation des ménages = 24 % de leur empreinte carbone en France La production agricole représente 2/3 de l’empreinte carbone totale de l’alimentation L’élevage compte environ pour 80%de ces émissions

On ne calcul pas impact de la relocalisation de l’alimentation (trop d’incertitudes en l’état actuel des connaissances). On mesure l’impact d’un changement de consommation et/ou d’un passage au bio.
Lorsqu’il est regardé par hectare, le résultat obtenu correspond à la différence d’impact entre : 1 hectare représentatif de la situation qui permet de répondre aux besoins alimentaires, en agriculture actuelle et en consommation actuelle ; 1 hectare représentatif de la situation qui permet de répondre aux besoins alimentaires, selon les choix agricoles et de consommation de l’utilisateur ; Attention : la différence d’impact ne concerne pas les hectares supplémentaires potentiellement nécessaires pour concrétiser la situation projetée par l’utilisateur. En effet, il n’est pas possible de connaitre l’utilisation actuelle (forêts, villes etc.) de ces hectares, et il n’est donc pas possible de calculer la différence d’impact.
L’indicateur « émissions de gaz à effet de serre » ne prend pas en compte le changement d’usage des sols. Dans certains cas, cela pourrait participer à des émissions supplémentaires (de CO2 notamment).
La séquestration de carbone n’est pas prise en compte : l’indicateur s’intéresse uniquement aux émissions de gaz à effet de serre

• Pour les éléments sur la méthode de calcul des indicateurs, se référer à la page annexe méthodologique, accessible par le menu principal

ITAB, Sautereau, N., Benoît, M. Quantifier et chiffrer économiquement les externalités de l’agriculture biologique ? – 2016
Seufert, V., Ramankutty, N. Many shades of grayi>The context-dependent performance of organic agriculture – 2017
Barbier, C., Couturier C. et al.L’empreinte énergétique et carbone de l’alimentation en France – de la production à la consommation. - 2019
Aubert, P.M., Poux, X. Une Europe agroécologique en 2050 : une agriculture multifonctionnelle pour une alimentation saine. - 2018
IDELE, Elevage bovin et environnement : les chiffres clés. - 2018

Quels sont les emplois agricoles nécessaires pour notre alimentation ?

sont nécessaires